Affaire Seznec

Affaire Seznec
Annonce de l'arrestation de Guillaume Seznec dans Le Journal du 1er juillet 1923.
Annonce de l'arrestation de Guillaume Seznec dans Le Journal du .

Titre Affaire Guillaume Seznec
Fait reproché Homicide volontaire et faux en écriture privée
Chefs d'accusation Meurtre et faux
Pays Drapeau de la France France
Ville Houdan
Paris
Dreux
Le Havre
Morlaix
Date Nuit du 25 au 26 mai 1923
Nombre de victimes 1 : Pierre Quémeneur
Jugement
Statut Affaire jugée : condamné aux travaux forcés à perpétuité ; peine commuée en vingt ans de réclusion le  ; remise de peine de dix ans le  : libéré le
Tribunal Cour d'assises du Finistère
Date du jugement
Recours Bénéficie de remises de peine collectives le puis le [1],[2]

L’affaire Seznec est une affaire criminelle célèbre dans laquelle Guillaume Seznec est reconnu coupable, en 1924, du meurtre de Pierre Quéméneur, conseiller général du Finistère, et de faux en écriture privée. Par la suite, le jugement a fait l’objet de neuf demandes de révision entre 1926 et 2001, toutes rejetées, malgré le combat mené par la famille de Seznec, sa femme d'abord, puis l'une de ses filles, puis son petit-fils Denis Seznec, et les larges campagnes menées en faveur de la révision de son procès.

  1. « Décret du 4 février 1946, signé de Félix Gouin (président du Gouvernement provisoire de la République), accordant remise de dix ans de travaux forcés à Joseph, Marie dit Guillaume Seznec, condamné en 1924 pour homicide. (Réf. du dossier de recours en grâce : no 36.102 S 45) voir côte BB/24/2389»
  2. Denis Langlois, L’Affaire Seznec 2.

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