Affaire de Tarnac | |
Vue de caténaires depuis une rame TGV. | |
Titre | Affaire de Tarnac des sabotages de caténaires |
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Fait reproché | Sabotages de plusieurs caténaires le |
Pays | France |
Ville | Paris |
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L'affaire de Tarnac des sabotages de caténaires commence le , lorsque Julien Coupat est arrêté par la police antiterroriste avec neuf autres personnes et mis en garde à vue[1] dans le cadre de l'enquête sur le sabotage coordonné de plusieurs lignes de TGV du .
Les personnes arrêtées sont désignées par la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie comme appartenant à un groupuscule dit de « l'ultra-gauche, mouvance anarcho-autonome[2] ». Thierry Fragnoli est le juge antiterroriste chargé du dossier.
Lors des différents procès, la charge de terrorisme est abandonnée, les différents prévenus relaxés de tous les motifs de mise en examen à l'exception de celui de « refus de se soumettre à un prélèvement biologique » pour Julien Coupat et Yildune Lévy, peine dont ils sont dispensés. Le jugement de la chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris est motivé par la phrase suivante : « L’audience a permis de comprendre que le groupe de Tarnac était une fiction ».
L'affaire de Tarnac est considérée comme un fiasco judiciaire.