Bayer CropScience AG | |
Création | 2002 |
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Disparition | |
Forme juridique | Société par actions |
Siège social | Monheim am Rhein (Rhénanie-du-Nord-Westphalie) Allemagne |
Direction | Liam Condon |
Actionnaires | Bayer |
Activité | Agrochimie, Biotechnologie |
Produits | Insecticides, herbicides, fongicides, fumigants et semences |
Société mère | Bayer |
Filiales | Bayer CropScience (Netherlands) (d) Bayer CropScience (Belgium) (d) |
Effectif | 23 100[1] |
Site web | www.cropscience.bayer.com |
Chiffre d'affaires | 9,494 milliards d'euros (2014)[1] |
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Bayer CropScience (BCS) est une ancienne entreprise agrochimique allemande, filiale du groupe Bayer, dont le siège est à Monheim am Rhein (Rhénanie-du-Nord-Westphalie). Elle a réalisé en 2014 un chiffre d'affaires de 9,494 milliards d'euros, en progression de 11,2 % par rapport à l'exercice précédent
Cette société est issue, lors de la restructuration du groupe Bayer AG en octobre 2002, de la fusion de l'ancienne division de protection des végétaux de Bayer (créée en 1924) et d'Aventis CropScience (ACS) acquise en 2001.
Le , elle est remplacée par une simple division du groupe Bayer, appelée Crop Science, dans le cadre de « New Bayer », la nouvelle stratégie du groupe.
Les principaux sites de production allemands se situent à Dormagen, dans le parc industriel Höchst (Francfort) et dans le Knapsack Chemical Park (Huerth). Le siège des filiales européennes de BCS (région EMEA) est installé à Lyon (France).
Bayer CropScience compte près de 90 filiales dans le monde entier et comprend, sur le plan opérationnel, trois grands domaines :
Crop Protection (protection des cultures), avec 80,4 % du chiffre d'affaires total, est la principale activité de l'entreprise[2]. Ce secteur d'activité concerne la protection chimique des plantes dans le domaine de l'agriculture. Environmental Science (sciences de l'environnement) couvre toutes les applications non agricoles. Celles-ci comprennent des produits pour l'entretien des pelouses et divers insecticides. Bio Science offre des solutions dans les domaines de la biotechnologie et de l'amélioration des plantes.
En septembre 2011, Sandra Peterson, ancienne directrice, a annoncé que d'ici 2015 400 millions d'euros seront investis annuellement dans le domaine du génie génétique végétal. Les dépenses totales en recherche et développement dans le domaine des semences devraient augmenter de 20 % à 850 millions par an. Dans la protection des cultures conventionnelles on veut être séparé de fonds plus âgés, entre autres sont ici 2012, tous les insecticides, qui sont évalués par l'OMS comme particulièrement nocifs, sont retirés du programme. Les dépenses totales en recherche et développement dans le domaine des semences devraient augmenter de 20 % pour atteindre 850 millions d'euros par an.
Dans la protection des cultures conventionnelle, l'objectif est de se séparer des produits les plus anciens, notamment tous les insecticides évalués par l'OMS comme particulièrement nocifs doivent être abandonnés à partir de 2012[3].