La douceur subjective d'un vin est déterminée par l'interaction de plusieurs facteurs, y compris la quantité de sucre dans le vin, mais aussi les niveaux relatifs d'alcool, d'acides et de tanins. Les sucres et l'alcool augmentent la douceur du vin ; les acides (acidité) et les tanins amers la neutralisent. Ces principes sont décrits dans le travail de 1987 par Émile Peynaud, Le goût du vin[1].