Ambassadeur du Royaume-Uni en France | |
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Chancelier du duché de Lancastre | |
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Premier Lord de l'Amirauté (en) | |
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Secrétaire d'État à la Guerre | |
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Membre du 37e Parlement du Royaume-Uni 37e Parlement du Royaume-Uni (d) Westminster St George's (en) | |
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Secrétaire financier au Trésor | |
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Membre du 36e Parlement du Royaume-Uni 36e Parlement du Royaume-Uni (d) Westminster St George's (en) | |
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Membre du 35e Parlement du Royaume-Uni 35e Parlement du Royaume-Uni (d) Westminster St George's (en) | |
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Membre du 34e Parlement du Royaume-Uni 34e Parlement du Royaume-Uni (d) Oldham (en) | |
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Membre du Conseil privé du Royaume-Uni | |
Membre de la Chambre des lords |
Vicomte Norwich (en) | |
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Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Alfred Duff Cooper |
Nationalité | |
Formation |
New College (Oxford) Collège d'Eton Wixenford School (en) |
Activités | |
Père |
Alfred Cooper (en) |
Mère |
Agnes Duff (d) |
Fratrie | |
Conjoint |
Diana Cooper (de à ) |
Enfants |
John Julius Norwich William Patten Jr. (d) |
Statut |
A travaillé pour |
Bureau des Affaires étrangères (d) |
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Parti politique | |
Arme | |
Conflit | |
Distinctions | Liste détaillée Doctorat honoris causa de l'université de Bordeaux (d) () Doctorat honoris causa de l'université de Lyon () Doctorat honoris causa de l'université de Lille () Chevalier grand-croix de l'ordre de Saint-Michel et Saint-Georges Ordre du Service distingué |
Le très honorable |
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Alfred Duff Cooper (Londres, – Vigo, ), 1er vicomte Norwich, est un homme politique britannique du Parti conservateur qui est ambassadeur à Paris et un personnage de la haute société européenne de l'époque. Il a écrit six ouvrages, dont une auto-biographie (Old Men Forget), une biographie de Talleyrand et un roman (Operation Heartbreak, 1950).
Il est ambassadeur de Grande-Bretagne en France de 1944 à 1947.
De Gaulle lui rend hommage dans ses Mémoires de Guerre, tome 3 L'unité, partie Diplomatie. Il écrit de lui : « Duff Cooper était un homme supérieur. Beaucoup de dons lui étaient impartis. Qu'il s'agît de politique, d'histoire, de lettres, d'art, de sciences, il n'était rien qu'il ne comprît et ne l'intéressât. [...] Dans son pays et à une époque où les évènements exigeaient que l'on prît les meilleurs, il eût pu être le premier.»