Ministre de la Guerre | |
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à partir du | |
Naissance | |
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Décès |
(à 60 ans) Potsdam |
Sépulture | |
Nom de naissance |
Erich Georg Anton Sebastian von Falkenhayn |
Nationalités | |
Allégeances | |
Formation |
École des cadets (à partir de ) Académie de guerre de Prusse ( - École principale prussienne des cadets |
Activités |
Militaire ( - |
Période d'activité |
À partir de |
Famille |
Falkenhayn (d) |
Père |
Fedor von Falkenhayn (d) |
Mère |
Franziska Freiin von Rosenberg (d) |
Fratrie | |
Enfant |
Erika von Tresckow (d) |
Arme | |
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Unités |
91e régiment d'infanterie oldenbourgeois (d) (à partir de ) État-major allemand (à partir de ) 11e corps d'armée (en) (à partir de ) 21e régiment d'infanterie "von Borcke" (4e de Poméranie) (d) (- État-major allemand () 14e corps d'armée (en) () Corps expéditionnaire d'Asie orientale (d) (à partir de ) 92e régiment d'infanterie brunswickois (d) (à partir de ) État-major allemand (- 16e corps d'armée (à partir de ) 4e régiment à pied de la Garde (- 4e corps d'armée (en) (à partir de ) |
Conflit | |
Grade | |
Distinction | |
Archives conservées par |
Archives fédérales allemandes (BArch, N 2069) |
Erich Georg Anton von Falkenhayn, né le à Burg Belchau (de), arrondissement de Graudenz et mort le à Potsdam, est un officier prussien qui a servi dans l'armée allemande notamment durant la Première Guerre mondiale.
Après une carrière d'officier d'état-major marquée par ses voyages en Chine, général dès 1912, il est le ministre de la Guerre de Prusse de 1913 à 1915 et le chef de l'État-Major général de à , et à ce titre, un des concepteurs de l'offensive de Verdun.
Après sa démission, il est envoyé en Transylvanie comme commandant de la 9e armée avec laquelle il coordonne la conquête de la Roumanie, puis en Palestine comme chef de la Heeresgruppe F (un groupe d'armées ottomanes) à partir de . De jusqu'à la fin de la guerre, il est le commandant de la 10e armée.
Dans son livre La Discorde chez l'ennemi[1] Charles de Gaulle dresse de Falkenhayn un portrait moral et militaire accablant et en fait le principal obstacle à la constitution d’un commandement unifié des forces des deux empires centraux de à .