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| Guy Ier de Vermandois | |
| Titre | Comte de Soissons (943 - après 986) |
|---|---|
| Prédécesseur | Herbert II de Vermandois |
| Successeur | Renaud de Soissons |
| Biographie | |
| Dynastie | Herbertiens |
| Décès | après 986 |
| Père | Herbert II de Vermandois |
| Mère | Adèle de France |
| Conjoint | Adélaïde |
| Enfants | Renaud de Soissons Guy Ier de Soissons |
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Guy Ier de Vermandois, mort après 986, est comte de Soissons dans la deuxième moitié du Xe siècle. Il est le fils d'Herbert II de Vermandois, comte de Vermandois, de Soissons et de Meaux, et de son épouse Adèle de France, elle-même fille du roi des Francs Robert Ier.
La vie de ce comte reste peu connue des historiens. Son nom apparait dans une charte de 974 du roi Lothaire en faveur de l'abbaye de Saint-Thierry près de Reims, ainsi que dans une autre du même roi, datée de 986, pour l'abbaye Saint-Éloi de Noyon et en mémoire de son neveu Ludolf de Vermandois, évêque de Noyon.
À l'instar de ses aïeuls, il fait partie des bienfaiteurs de l'abbaye du Mont-Saint-Quentin près de Péronne.
Au cours des années 980, il effectue le pèlerinage à Rome.
Il meurt après 986, et son fils Renaud de Soissons lui succède en tant que comte de Soissons. Toutefois, ce dernier est encore mineur et c'est sa mère Adélaïde qui effectue la régence et porte le titre de comtesse, ainsi que le second époux de celle-ci Nocher Ier de bar-sur-Aube[1].
- Henri d'Arbois de Jubainville, Histoire de Bar-sur-Aube sous les comtes de Champagne, Bar-sur-Aube, Madame Jardeaux-Ray, imprimeur-éditeur, (lire en ligne), p. XIII