Intervention en Russie septentrionale

Intervention en Russie septentrionale

Tank Mark V britannique, capturé et exposé à Arkhangelsk aujourd'hui.

Informations générales

Date	Juin 1918-mars 1920
Lieu	Oblast du Nord
Issue	Retrait allié Victoire des bolcheviks

Belligérants

Forces de l'Entente, notamment : Royaume-Uni Canada Australie États-Unis France Italie Gouvernement provisoire de la Région septentrionale, Armées blanches

République socialiste fédérative soviétique de Russie

Commandants

Edmund Ironside Henry Rawlinson Ievgueni Miller

Alexandre Samoïlo Jukums Vācietis Dmitri Pavlovitch Parski Dmitri Nikolaïevitch Nadiojny

Forces en présence

6 000 soldats britanniques, 4 500 soldats américains, 1 350 soldats italiens, 1 200 légionnaires finlandais, 900 à 1 700 soldats français, 1 000 artilleurs canadiens

14 000 (estimation)

Pertes

526 Britanniques tués[1] 167 Américains tués, 22 Italiens tués, 29 Américains portés disparus, 12 Américains prisonniers[2]

2 150 bolcheviks selon des estimations alliées

Intervention alliée pendant la guerre civile russe

Données clés

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L’intervention en Russie septentrionale, aussi connue comme expédition en Russie septentrionale, et comme opération Arkhangelsk, fait partie de l'intervention alliée en Russie, après la révolution d'Octobre. L'intervention dans l’oblast du Nord entraîne la participation de troupes étrangères dans la guerre civile russe aux côtés des Armées blanches. La campagne dure des derniers mois de la Première Guerre mondiale en 1918, jusqu’en 1919 et se solde par le retrait des alliés et la reconquête de l’oblast du Nord par les bolcheviques.