Naissance |
Bâle (Suisse) |
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Décès |
(à 79 ans) Bâle (Suisse) |
Sépulture | Cimetière à Hörnli avec crématorium (d) |
Nationalité | Suisse |
Père | Jakob Burckhardt (d) |
Mère | Susanna Maria Burckhardt-Schorndorff (d) |
Formation | Université rhénane Frédéric-Guillaume de Bonn, université Frédéric-Guillaume de Berlin et Université de Bâle |
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Profession | Historien, professeur d'université (d), historien de l’art, auteur, dessinateur, historien du culturel (d), philologue (en) et philosophe |
Employeur | École polytechnique fédérale de Zurich, Université de Bâle et Université de Bâle |
Membre de | Académie des sciences de Göttingen, Zofingue, Académie des Lyncéens et Académie bavaroise des sciences |
Jacob Burckhardt, né le à Bâle et mort le dans la même ville est un historien, historien de l'art, philosophe de l'histoire et de la culture et historiographe suisse. Il est renommé pour avoir abordé l'histoire de l'art d'une manière savante[1]. Burckhardt est considéré comme un spécialiste de la Renaissance, étant l'auteur de La Civilisation de la Renaissance en Italie[2], un ouvrage publié en 1860 qui fit autorité en son temps.
Sigfried Giedion analyse ainsi l'esprit et la méthode de Burckhardt : « le grand découvreur de la Renaissance, il a le premier montré qu'une période doit être traitée dans son intégralité, en tenant compte non seulement de la peinture, de la sculpture et de l'architecture, mais aussi des institutions sociales et de la vie quotidienne. »[3]