Jacques Le Goff

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Jacques Le Goff

Fonction

Président École des hautes études en sciences sociales
1975-1977
François Furet

Biographie

Naissance	1er janvier 1924 Toulon (Var, Provence-Alpes-Côte d'Azur, France)
Décès	1er avril 2014 (à 90 ans) 10e arrondissement de Paris (Paris, Île-de-France, France)
Sépulture	Lanester
Nom de naissance	Jacques Louis Le Goff
Nationalité	française
Formation	Lycée Louis-le-Grand Lycée Thiers École normale supérieure
Activités	Historien, médiéviste, résistant, chercheur

Autres informations

A travaillé pour	École des hautes études en sciences sociales Centre national de la recherche scientifique Université Lille-III
Parti politique	Parti socialiste unifié (1958-1962)
Membre de	Medieval Academy of America (1987) Academia Europaea (1989) Académie polonaise des sciences
Mouvement	École des Annales
Maîtres	Charles-Edmond Perrin, Maurice Lombard
Étudiants de thèse	Françoise Piponnier (d) (1968), Mario Pilosu (d) (1973), Odette Chapelot (1975), André Guillerme (d) (1976), Régis Labourdette (d) (1977)
Distinctions	Médaille d'or du CNRS (1991) Liste détaillée Prix Broquette-Gonin (1978) Corresponding Fellow of the Medieval Academy of America (1987) Médaille d'or du CNRS (1991) Prix historique de la ville de Münster (1993) Prix Hegel (en) (1994) Grand prix Gobert (1996) Grand prix d'histoire de la ville de Paris (1997) Commandeur des Arts et des Lettres‎ (1997) Commandeur de la Légion d'honneur‎ (1997) Docteur honoris causa de l'université de Parme (2000) Prix A.H. Heineken pour l'histoire (2004) Prix Dan-David (2007) Docteur honoris causa de l'université de Pavie Docteur honoris causa de l'université jagellonne de Cracovie

Œuvres principales

Un Long Moyen Âge (d)

Annonce de sa mort à l'université de Varsovie (cliché du 11 avril 2014).

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Jacques Le Goff, né le 1^er janvier 1924 à Toulon et mort le 1^er avril 2014 à Paris^[1], est un historien médiéviste français.

Il s'intéresse particulièrement dans ses recherches à l'anthropologie médiévale, et à l'histoire des mentalités^[1],[2]. Ses maîtres sont Charles-Edmond Perrin ou encore Maurice Lombard. Il rappelle aussi volontiers les influences d'Henri Pirenne, Fernand Braudel et Henri Michel, qui fut son professeur d'histoire au lycée de Toulon^[3],[4].