Naissance | |
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Sépulture |
Cimetière à Hörnli avec crématorium (d) |
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Père |
Fritz Barth (d) |
Fratrie | |
Conjoint |
Nelly Barth (d) |
Parentèle |
Theodor Barth (d) (cousin) |
A travaillé pour | |
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Partis politiques |
Parti socialiste suisse (à partir de ) Parti social-démocrate d'Allemagne (à partir de ) |
Membre de | |
Influencé par | |
Distinctions | Liste détaillée Doctorat honoris causa de l'université de Strasbourg (d) () Prix Sonning () Doctorat honoris causa de l'université de Paris () Prix Sigmund-Freud pour la prose scientifique () Docteur honoris causa de l'université de St Andrews Docteur honoris causa de l'université d'Utrecht Docteur honoris causa de l'université de Münster Docteur honoris causa de l'université de Glasgow Membre de l'Académie américaine des arts et des sciences Docteur honoris causa de l'université de Chicago Docteur honoris causa de l'université d'Édimbourg Docteur honoris causa de l'université de Genève Docteur honoris causa de l'université d'Oxford |
Archives conservées par |
Karl Barth-Archiv (d) |
L’Épître aux Romains (d) |
Karl Barth, né le à Bâle et mort dans la même ville le , est un pasteur réformé et professeur de théologie suisse.
Il est considéré comme l'une des personnalités majeures de la théologie chrétienne du XXe siècle[1], en particulier de la théologie dialectique[2],[3]. Ses travaux, notamment ses essais sur la révélation divine, ont exercé une influence déterminante sur Paul Tillich et Jürgen Moltmann. Ils lui valent d'être tenu pour le plus grand théologien protestant du XXe siècle et peut-être depuis la Réforme[4], tout en dépassant le clivage confessionnel[5].
L'œuvre de Karl Barth, étudiée par des théologiens catholiques tels que Hans Urs von Balthasar et Henri Bouillard, a parfois été comparée à celles d'Augustin, de Thomas d'Aquin et de Calvin[5]. Du moins est-elle en grande partie à l'origine du renouveau de la théologie trinitaire contemporaine[4].