Titre original |
(ja) 古事記 |
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Format | |
Partie de | |
Langue |
Hentai kanbun (d) |
Auteurs | |
Basé sur | |
Genre |
Livre d'histoire (d) |
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Œuvre dérivée |
Le Kojiki (古事記 , litt. Chronique des faits anciens aussi prononcé Furukoto fumi) est un recueil de mythes concernant l’origine des îles formant le Japon et des kamis, divinités du shintoïsme. Avec le Nihon shoki, les légendes contenues dans le Kojiki ont inspiré beaucoup de pratiques et de croyances du shintoïsme. Le Kojiki (712) et le Nihon shoki (720) sont souvent comparés et analysés ensemble, sous l’appellation Kiki. Leur ressemblance vient de leur but commun : légitimer la lignée impériale. Le Nihon shoki permet aussi de remanier aux limites du Kojiki[1]. Le Kojiki est toutefois généralement considéré comme le plus ancien écrit japonais existant encore de nos jours et est entièrement écrit en langue japonaise[2],[3], en caractères chinois.
Le Kojiki est une compilation des récits du conteur Hieda no Are par le chroniqueur Ō no Yasumaro, sur l’ordre de l’impératrice Genmei. Il lui fut offert en 712.