Back Orohena Afrikaans جبل مونت اوروهينا ARZ Mont Orohena Catalan Mont Orohena CEB Mont Orohena Czech Mont Orohena German Mont Orohena English Monte Orohena Spanish Orohena Basque کوه اوروهنا Persian
Cet article est une ébauche concernant la montagne.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| Mont Orohena | ||
 Vue aérienne annotée du mont Orohena, du Pito Hiti et du mont Aorai à l'aplomb de la vallée de Papenoo. | ||
| Géographie | ||
|---|---|---|
| Altitude | 2 241 m[1] | |
| Massif | Tahiti | |
| Coordonnées | 17° 37′ 24″ sud, 149° 28′ 38″ ouest[1] | |
| Administration | ||
| Pays |  France |
|
| Collectivité d'outre-mer | Polynésie française | |
| Subdivision | Îles du Vent | |
| Ascension | ||
| Première | par Alphonse et Charles Hollande, Tiaore et Varuamana[2],[3],[4] | |
| Géologie | ||
| Âge | 502±7 ka[5] | |
| Roches | Ignimbrites[5] | |
| Géolocalisation sur la carte : Polynésie française
| ||
modifier  |
||
Le mont Orohena est le plus haut sommet de l'île française de Tahiti et de l'ensemble de la Polynésie française. Culminant à 2 241 m, il est par ailleurs par son isolation topographique le premier sommet français et le septième au monde. Le plus proche sommet ayant une altitude supérieure se trouve à 4 128 km de là, en Nouvelle-Zélande, il s'agit du mont Ngauruhoe qui s'élève à 2 287 m.
Pour accéder au sommet de la montagne, il faut effectuer une randonnée de plus de 6 heures depuis la ville de Mahina, en passant par les plateaux du Moto Fefe, du Pihaaiateta et du Pito Hiti qui offrent une vue sur Tahiti et les îles voisines de l'archipel de la Société.
- « Carte IGN classique » sur Géoportail.
- « Si Tahiti m’était conté - Cinematamua 27 », .
- L’ascension de l’Orohena. Si Tahiti m’était conté.
- L’histoire des ascensions du plus sommet de l’île de Tahiti : L’Orohena, 5 novembre 2009.
- A. Hildenbrand et P.-Y. Gillot, Évolution géologique de l’île de Tahiti-Nui (Polynésie française) : de la construction volcanique à l'érosion tardive, 2011, consulté le 24 août 2014.