Notes tironiennes | |
Première page des Commentarii notarum tironianarum (800-850), détaillant sur deux colonnes les notes tironiennes (à gauche) et leur signification (à droite). | |
Caractéristiques | |
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Type | Sténographie semi-syllabique |
Langue(s) | Latin |
Historique | |
Époque | Ier siècle av. J.-C. - XVIe siècle |
Créateur | Marcus Tullius Tiro |
Codage | |
Unicode | ⁊ : U+204A ; MUFI (en) |
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Les notes tironiennes (notae tironianae en latin) sont une méthode de sténographie abréviative dont l'invention remonterait à Marcus Tullius Tiro (dit Tiron), secrétaire de l'orateur romain Cicéron au Ier siècle av. J.-C. Le système de Tiron comporte environ 1 000 signes, étendus à l'époque classique à 5 000 signes. Au Moyen Âge, en Europe, les notes tironiennes sont enseignées dans les monastères et le système est élargi à environ 13 000 signes[1]. Leur usage décline après le XIIe siècle mais certaines notes sont utilisées jusqu'au XVIIe siècle[2],[3].
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