Le terme de « taxon actuel » ne doit pas être mis en opposition avec celui de « taxon obsolète » qui concerne une entité déclassée pour être placée dans une entité différente par une nouvelle classification.
En paléontologie, la « méthode de l'homologue vivant le plus proche » consiste à trouver le taxon actuel le plus proche possible du taxon fossile. Ce taxon actuel sert alors de modèle aux scientifiques pour en déduire les caractéristiques probables d'un taxon fossile, même s'il y a des incertitudes notamment sur les adaptations aux conditions climatiques de l'époque[2],[3].
↑William David Lindsay Rideet al. (Adopté par le XVe Congrès international de zoologie en 1961 et adopté par la XXe Assemblée générale de l'Union internationale des sciences biologiques), Code international de nomenclature zoologique, Londres, International Trust for Zoological Nomenclature en association avec le département Histoire du British Museum, (réimpr. 1999) (1re éd. 1959), 338 p. (ISBN978-0-8530-1003-6, OCLC13498498), p. 73 et 273
↑Mohamed Abbassi et Patricia Valensi, « Reconstitution de paléoenvironnements quaternaires par l'utilisation de diverses méthodes sur une communauté de mammifères : Application à la grotte du Lazaret », Quaternaire, Paris, Association française pour l'étude du quaternaire, vol. 9, no 4, , p. 291-302 (ISSN1965-0795 et 1142-2904, OCLC633242701, DOI10.3406/quate.1998.1611, lire en ligne [[image]])
↑(en) Gregory J. Jordan, « Contrasts between the Climatic Ranges of Fossil and Extant Taxa : Causes and Consequences for Palaeoclimatic Estimates », Australian Journal of Botany, Collingwood, CSIRO Publishing, vol. 45, no 3, , p. 465-474 (ISSN1444-9862, OCLC49911792, DOI10.1071/BT96038, résumé)