Cet article est une ébauche concernant la voile ou un voilier.
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| Sport | Voile |
|---|---|
| Édition | 5e |
| Type / Format | En solitaire et sans escale |
| Lieu(x) | Entre Plymouth (Royaume-Uni) et Newport (États-Unis) |
| Participants | 125 |
| Vainqueur |
 Éric Tabarly (Pen Duick VI) |
|---|
La Transat anglaise 1976 (Observer Single-handed Trans-Atlantic Race 1976) est la cinquième édition de la Transat anglaise. 125 concurrents sont au départ et 78 à l'arrivée.
Lors de cette édition, cinq dépressions très creuses se succèdent et provoquent de nombreux abandons (Yvon Fauconnier, Jean-Yves Terlain, Tony Bullimore, secouru par un proche navire alors que le sien était en feu...). Éric Tabarly, à la suite de nombreuses avaries (dont le pilote), fait demi-tour, puis se ravise et gagne la course.
Après une escale technique à Terre-Neuve, qui dure 36 heures, Alain Colas arrive deuxième, le , 7 h 28 après Éric Tabarly. Le comité de course le pénalise de 58 h car il a été aidé par des équipiers à hisser ses voiles lors de son départ de Terre-Neuve. Il se classera finalement cinquième.
La britannique Clare Francis (en) finit treizième et améliore de trois jours le record féminin de la traversée de l’Atlantique en solitaire. Elle mesure 1,58 m et pèse 47 kg.
Le britannique Mike McMullen, qui avait racheté le trimaran Three Cheers, prend le départ 2 jours après la mort de sa femme et disparaît en mer[1],[2]. Le canadien Mike Flanagan disparaît après être tombé de son bateau Galloping Gael.
Cette édition est également marquée par le gigantisme (236 pieds de long) du Club Méditerranée d'Alain Colas.
- « Bilan course transatlantique » [vidéo], sur ina.fr, Antenne 2,
- Sa femme Lizzie est morte électrocutée lors de la préparation du bateau.